Ils parlent de leur métier et de l'Ucanss
La parole à Sébastien Guillet
Chargé de recrutement -
Chef de projet RH
« Avant je travaillais pour l’industrie de l’armement, désormais je me sens utile et j’ai l’impression de me battre pour défendre notre modèle de protection sociale.
À l’Ucanss, j’ai une double mission : recruteur et chef de projet RH. Ma première casquette consiste à rechercher des experts dans des domaines très spécifiques, comme l’IT, l’analyse de données, les achats... Nous attirons aussi des juniors, à la recherche d’une belle porte d’entrée dans la vie professionnelle.
Les profils plus expérimentés sont souvent des personnes qui ont connu des environnements de travail éprouvants. Elles souhaitent retrouver une meilleure adéquation entre vie pro et privée, et là nous avons des arguments : télétravail, management par la confiance, collectif de travail…
Mon autre mission consiste à faire évoluer nos outils de recrutement, en innovant notamment. J’ai par exemple contribué à créer un processus d’intégration, appelé onboarding en anglais, avec un livret d’accueil interactif et une plateforme regroupant de nombreuses ressources pour les nouveaux embauchés.
Je participe également aux travaux sur la marque employeur de la Sécurité sociale, 3ème employeur privé de France. C’est très divers : je me rends dans des salons de l’emploi, et je suis aussi amené à monter des partenariats, comme celui avec Welcome to the Jungle, une plateforme qui promeut un nouveau rapport au travail…
J’adore mon métier, car il n’y a pas de routine. J’apprécie de côtoyer des décideurs, de les conseiller et de leur rapporter la réalité du terrain. J’essaie aussi d’amener beaucoup de bienveillance et de transparence dans mon rôle de recruteur, à mon sens c’est ainsi que l’on peut réellement attirer et fidéliser.
Nous sommes à l’Ucanss un peu dans une logique de PME, avec 220 collaborateurs, c’est une boîte à taille humaine, avec un esprit de corps que j’apprécie.
Je trouve aussi du sens dans les valeurs qui nous réunissent plus largement au sein de la Sécurité sociale : avant je travaillais pour l’industrie de l’armement, désormais je me sens utile et j’ai l’impression de me battre pour défendre nos valeurs de partage et notre modèle de protection sociale. Bien sûr, il n’est pas parfait, mais se dire que l’on peut contribuer à faire changer les choses, c’est un levier de motivation. »